

"Un colosse créatif", "un véritable homme de la Renaissance", "demesuré, "arrogant", "égocentrique". Qu'elle soit bonne ou mauvaise, tout le monde a une opinion sur Julian Schnabel. Dès ses premiers pas sur la scèene artistique new-yorkaise de la fin des années 70, son nom est devenu synonyme de démesure: toiles énormes et étourdissantes, déclarations fracassantes, sommes d'argent phénomenales, et, pour couronner le tout, un ego monumental.Après
David Lachapelle, c’est au tour de Julian Schnabel de s’associer avec
Maybach. La marque allemande de voitures de luxe qui vient de lui proposer un paternariat. Première étape: l’artiste va présenter à l’Art Basel de Miami sa sculpture Queequeq.
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